Philippe Ep 24 : Dans Les Etoiles

PHILIPPE
EP 24 : DANS LES ETOILES


La soirée avançait tout doucement. Alex m'avait préparé un repas léger. Je me sentais toujours barbouillé au niveau du ventre, il valait mieux que je me lève avec douceur sinon … vertiges. J'étais déjà tombé sur le nez je n'avais pas envie de recommencer. Mais je commençais à me remettre de mes égarements.

Alex, avec une patience infinie était toujours au petits soins avec moi. Il m'avais préparé un potage léger. Il s'installait devant moi, j'étais allongé sur le transat.

Moi : Je m'ennuie!
Alex : On ouvre la bouche !

J'ouvrais la bouche, il y enfournait la cuillère de potage.

Alex : Maintenant tu refermes la bouche et tu avales !
Moi : Et tu as l'intention de me faire manger comme ça …
Alex : On ouvre la bouche !

Il recommençait … La réponse était oui !

Après le repas, je recommençais à me plaindre.

Moi : Je m'ennuie !
Alex : Bon maintenant tu vas te coucher et dormir !
Moi : Meuhhh ! Il y a encore du soleil!
Alex : C'est vrai que tu n'as pas du le voir hier le soleil !
Moi : Tu te moques, je veux un câlin !

Alex m'emmenait à mon lit, il l'avait changé, c'était un lit de malade. Ce genre de lit avec une barrière un peu comme dans les lits d's, un garde fou pour éviter que je ne tombe de nouveau. Là je me suis demandé si c'était par prudence uniquement ou peut être par taquinerie … Mais bon, ça restait un grand lit de deux places, c'était pas un lit de bébé, j'ai rien dit.

Moi : Je veux pas dormir, je veux un câlin.
Alex : Tu me fais un caprice là !

Il s'allongeait à côté de moi, il avait retiré mes vêtements, les siens aussi remarquez. Ça devenait intéressant cette affaire !

Il s'allongeait juste à côté de moi, glissait son bras sous ma tête et me donnait un baiser dans le cou, là, juste au dessus de l'épaule.

Ça chatouillait un peu et il me faisait frémir.

Je sentais la douceur de sa peau contre la mienne. Il repliait son bras et me caressait le torse. Il a un léger duvet très doux sur l'avant bras et je me laissais aller à lui caresser le bras.

Dans sa cage, ma queue protestait de plus en plus, c'en était presque douloureux. Mais qu'est ce que je pouvais faire ? Subir et attendre de rentrer à la maison pour pouvoir retirer le dispositif.

Alex me donnait des baiser sur l'épaule, avec son autre main il me caressait le corps, depuis les tétons jusqu'aux fesses, de temps en temps il glissait sa main entre mes cuisses, toujours avec une grande douceur, uniquement avec une grande douceur.

Il me tenait contre lui, il bandait et je sentais sa queue qui glissait entre mes cuisses, entre mes fesses. Il n'essayais pas de me pénétrer, enfin pas encore. Il voulait juste me détendre, c'est ce que je faisais, je me laissais aller. J'étais en confiance, je savais qu'il n'aurait pas un geste violent ou brusque.

Je n'avais presque plus mal au cul, et si ce n'était pas Alex qui était là derrière moi, contre moi, je pense que j'aurais eu de l’appréhension. Mais je savais qu'avec lui je n'avais rien à craindre.

Il se relevait et me couvrait de baisers sur tout le corps, partout ou il m'avait caressé avec tant de douceur il me donnait un baiser avec toujours autant de douceur. A ce moment j'étais complètement détendu, je commençais enfin à me sentir vraiment mieux. Je m'allongeait sur le dos, il déposait un baiser sur mes lèvres, je lui souriais en fermant les yeux.

J'avais à moitié dormi pendant toute la journée, mais j'avais eu des émotion la veille, et le matin aussi j'en avais encore mal au nez. En fait j'étais épuisé, je commençais à me sentir mieux mais j'étais vraiment épuisé. J'étais en confiance, parfaitement bien détendu. Je me laissais aller et je m'endormais dans les bras d'Alex.

Quand je me suis réveillé au milieu de la nuit, il était là endormi juste à côté de mon lit.
Il avait déplié un fauteuil, il était là prêt à intervenir si je poussais un cri, faisais un bruit ou si j'avais besoin de quelque chose …

…

Moins d'une demie heure plus tard mes camarades étaient en tenue de vol. Une combinaison dans le genre de celle que portent les pilotes. Ils avaient l'air contents, les photos en témoignent.

Ils avaient rejoint un groupe qui participait aussi à ce vol. Mais eux avaient dû réserver longtemps à l'avance. Pendant une heure ils se sont tous éclaté. L'avion a fait une série de vol paraboliques, à chaque fois vingt secondes d'apesanteur.

A leur retour au sol, ils avaient sympathisé avec les autres participants qui avait à peut près leur âge. Ils étaient aux anges et ne se posaient plus de questions. Ils revenaient dans les vestiaires et enfilaient une tenue de détende, genre tenue de sport, et se retrouvaient tous au réfectoire. Pour eux l'heure du repas était déjà passée depuis plus de deux heures et ils dévoraient comme des goinfres.

Ils avaient rejoint le groupe d'astronaute en herbe et avaient complètement oublié mon Grand Père avec qui ils étaient venus. L'officier qui les encadrait depuis le début arrivait …

L'officier : Ça c'est bien passé les jeunes ?

Ils lui répondaient par un large sourire. Ils ne cachaient pas leur joie …

L'officier : Bien Monsieur Brosso s'est absenté, il m'a chargé de m'occuper de vous. Le programme maintenant, juste après le repas c'est le décollage de la fusée qui va lancer une sonde vers Mars. Vous serez aux premières loges. Ensuite, repos à l'hôtel et demain, une petite promenade, fin du programme et retour à la maison …
Théo : Et il est ou Mr Brosso ?
L'officier : En Chine ! Mais ne vous inquiétez pas s'il n'est pas revenu demain, nous avons un avions qui sera mis à votre disposition.

Après le lancement de la fusée, mes deux camarades aventuriers avaient des étoiles dans les yeux et des étoiles dans la tête.
Ils étaient toujours avec leurs camarades de vol. Tous ces jeunes étaient logés dans des chambres qui se touchaient, deux lits par chambres.

Deux étudiants en école d'ingénieurs retrouvaient mes camarades dans leur chambre. Ils avaient sympathisé un peu plus tôt dans la journée.

John : Alors vous êtes tous les deux à la PK Scool ?
Théo : Ouai !
Sam : C'est bien la PK Scool ! Après vous entrez directement à la PK Université et ensuite ce sont les employeurs qui vous recrutent …
Victor : Ça n'a pas que des avantages !
Sam : Vraiment ?

…

Ils discutaient un long moment et …

…

Vous n'avez jamais remarqué ? Mais quand vous vous retrouvez à plusieurs comme ça, à discuter de tout et de rien, quand on parle de la PK il y en a toujours un qui vous demande si vous portez le fameux dispositif, à moins qu'il ne vous demande directement de le lui montrer !

…

Ça ne vous est jamais arrivé ?
Et bien une fois de plus c'est comme ça que ça se terminait.
( note de l'auteur )

…

Victor baissait son pantalon, Théo rigolait, les deux autres baissaient leur pantalon, eux ils n'en portaient pas bien sûr, Théo rigolait …

Et quand Victor lançait à Théo : '' Et bien on n’attend plus toi ! Tu ne montre pas à nos camarades ton dispositif … ? ''.

Théo baissait son pantalon, leurs deux nouveaux amis rigolaient en voyant qu'il ne portait rien.

Sam : Oui mais là tu triches, tu ne portes rien !
Théo : Je suis en vacances.
John : Mais je croyais que ?
Victor : Non ce n'est pas obligatoire pendant les vacances.

…

Sam et John bandaient et n'essayaient pas de le cacher, ils retiraient leurs vêtements sans rien demander, d'un geste tout à fait naturel. Ils se retrouvaient à poil et chacun s'asseyait sur un lit à côté de Victor et de Théo. Ces deux là les avaient vu venir.
Victor se penchait sur la queue de Sam et la prenait dans sa bouche. Théo, lui, se rapprochait de John.

Soyeux sérieux, c'est pas parce qu'ils s'étaient envoyé en l'air pendant un heure en vol parabolique que … Là ils avaient les pieds sur terre. Quelques instants plus tard ils étaient à poil, cette fois-ci tous les quatre.

Théo et John se prenaient dans les bras l'un de l'autre, et commençaient à s'embrasser. Sam prenait une position plus confortable pour lui. Le torse relevé, douillettement appuyé sur les oreillers, les jambes écartées, il regardait Victor lui sucer la queue.

Théo s'installait finalement à côté de Victor, il entraînait également John avec lui et les trois garçons se retrouvaient agglutinés autour de Victor qui n'en avait pas demandé autant. Il suçais longuement Sam, les deux autres lui caressaient le corps sans oublier d'insister longuement sur ses parties intimes, ses tétons, le bas de son ventre, ses fesses, l'intérieur de ses cuisses, ses fesses. Chacun son tour un des garçons glissait un doigt dans son cul. Si Victor semblait protester c'était uniquement pour la forme. Il n'essayait pas des les retenir ou de les en empêcher.

San laissait alors sa place à John. Théo se relevait et enlaçait John pendant que Victor lui suçait la queue avec expertise. Ils s'embrassaient avec passion, John caressait la tête de Victor et malicieusement appuyait dessus par moment en relevant le bassin.

Sam enlaçait Victor qui était toujours les jambes repliés, le cul bien offert. Il se penchait sur le dos de Victor, lui donnait des baisers un peu partout, sur les épaules, dans le cou. Il passait une main dur le ventre de Victor, prenait position et avec douceur et fermeté enfonçait lentement sa queue bien à fond dans le cul de Victor.

Depuis plus d'un moi qu'il était en vacances sur l'île, Victor s'était trouvé plus d'un partenaire et il se prenait la queue de Sam sans difficultés, il commençait à avoir de l'entraînement. Il gémissait de plaisir, Sam était bien monté mais il était également très doux. Ses mouvements amples et lents affolait Victor qui gémissait de plaisir.

Théo parvenait à se faire une petite place juste à côté de John, Victor passait de l'un à l'autre maintenant Théo gémissait également de plaisir. Sam ne se laissait pas distraire et accélérait le mouvement il respirait plus fort, il se relevait, cambrait complètement son dos en retenant fermement Victor par les hanche, ses coups de bassins devenaient de plus en plus violents et son ventre claquait fort au moment ou il frappait les fesses de Victor. Il mouvements devenaient irréguliers, rapides mais désordonnés. Sam poussait quelques gémissements et on devinait qu'il jouissait dans le cul de Victor. Ses derniers coups de bassins étaient violents. Il se laissait retomber sur le dos de Victor, l'enlaçait une dernière fois avec beaucoup de tendresse puis se retirait.

Sans attendre John prenait la place. Victor semblait vouloir dire quelque chose mais Théo le faisait taire en lui enfonçant sa queue dans la gorge. Il est taquin Théo ! Victor ne se débattait pas vraiment, il laissait faire !

Rapidement John reprenait là ou Sam s'était arrêté. Victor était totalement détendu, John s'en rendait compte et passait tout de suite à des mouvements rapide et francs. Il se retirait largement, et revenait à la charge sans aucune retenue. Son ventre claquait fort d'un claquement sec quand il s'écrasait contre les fesses de Victor.

Théo devait maintenant retenir Victor qui tentait vraiment de se dégager. En fait il voulait seulement se relever pour gueuler '' Encore, oui vas y ! … ''. Et c'est ce qu'il faisait au moment ou Théo le relâchait. John se lâchait, ses coups de bassins étaient vraiment violents maintenant. Victor replongeait et avalait de nouveau la bite de Théo qui en profitait pour appuyer de nouveau sur sa tête avec un plaisir non dissimulé. Il est taquin Théo !

Cette situations amusait beaucoup Sam qui regardait depuis un coin de la chambre, il avait pris du recul et contemplait la scène.

Théo appuyait sur la tête de Victor, John entrait et sortait de son cul et concluait sans prévenir par un cris de plaisir un mouvement du bassin incontrôlé et violent puis tout comme son camarade quelques instants plus tôt il se laissait tomber sur le dos de Victor et l'embrassait tant qu'il pouvait. Il finissait par se retirer.

Victor se laissait retomber sur le dos, il ne s'occupait plus de Théo.

Théo : Bein moi alors ?
Victor : Tu me fatigues !

Théo ne répondait rien, il laissait un peu de temps à son camarade pour récupérer puis sans prévenir lui sautait dessus, lui relevait les jambes, plaçait ses chevilles sur ses épaules, s'appuyait lourdement contre lui et le pénétrait à son tour. Victor râlait '' Te m'écrase ! '', mais laissait faire.

Théo avait été longuement stimulé, il ne retenait pas ses mouvements et ne tardait pas à jouir dans le cul de Victor. Il y avait moins de violence à ce moment, ils s'enlaçaient avec passion. Victor avait les jambes complètement repliées sur lui même mais fort heureusement pour lui, il était souple et ne souffrait pas de cette position.

Il avait joui, je veux dire Victor avait joui. Oui c'est vrai que ses camarades ne s'en étaient pas vraiment préoccupé mais il avait joui, plusieurs fois même peut être. Sa queue prenait toute la place dans sa cage, mais il n'y avait pas de pression importante. C'était juste une grosse molle qui prenait de la place mais sans prétention, sans essayer de sortir. On pouvait voir aux traces qui restaient qu'il avait éjaculé.

Plus personne ne bougeait pendant un long moment. Quand Sam et John se relevaient c'était pour rejoindre leur chambre.

John : Bon on se revoit demain …
Sam : Vous participez au vol demain ?
Théo : Le vol ? Quel Vol ?
Victor : On n'a pas de vol de prévu !
Sam : Dommage, on aurait bien rigolé.
John : Ils n'avaient pas prévu de venir aujourd'hui, et tu sais qu'il faut réserver longtemps à l'avance …

De bonne heure le lendemain matin l'officier qui les encadrait frappait à la porte.

L'officier : Alors prêts pour la petite promenade promise ?
Victor : La petite promenade ?
L'officier : Quatre révolutions autour de la terre, six heures de vol dans l'espace … Ça vous tente ?

Mes deux amis n'avaient jamais enfilé aussi rapidement un uniforme ! Ces enfoirés ils se sont bien amusé pendant que moi avec mon atèle sur le nez je m'ennuyait, tout seul. C'était donc ça la petite promenade, une promenade dans l'espace. A cet instant ils avaient complètement oublié Mr Brosso (Mon grand père), moi leur copain Philippe, l'île … Enfin tout quoi !

Dans la sale à manger ils retrouvaient leurs amis de la veilles qui les voyant en uniforme de vol …

Sam : Finalement vous faites partie du vol ?
Victor : Oui, c'est génial, mais on ne nous avait rien dit, c'était une surprise …
John : J'ai du mal à y croire, il faut réserver à l'avance et j'ai du mal à croire que vous n'étiez pas au courant !
Sam : Qui vous a organisé cette sortie ?
Victor : On est venu avec Mr Brosso !

Les deux garçons se regardaient incrédules.

John : Mr Antoine Brosso ?
Théo : Non son père … Mr Jérémy Brosso !
Sam : La vache !!! Mais c'est que vous avez des relations vous !
John : C'est sûr qu'avec des relations comme celles là on n'a pas besoin de réserver …

Finalement le vol se passait très bien, six heures d’apesanteur dans l'espace en orbite basse, quatre coucher de soleil, quatre lever de soleil, quelques aurores boréales vues depuis l'espace, les galaxie de lumière qui éclaires les villes la nuit … Cette toute petite île perdue au milieu de l'océan, depuis l'espace on ne pouvait pas voir le pont rail.

Ils m'ont dit que c'est uniquement à cet instant qu'ils ont pensé à moi. En apercevant la petite île ou j'étais. Il se sont dit que je devais aller mieux et me remettais de ma gueule de bois ?


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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